Il n’a pas toujours été nécessaire d’avoir une autorisation pour conduire une voiture. En effet, avec la généralisation des automobiles, le permis de conduire est né est s’est petit à petit transformé en ce que nous connaissons aujourd’hui. Découvrez plus en détails l’histoire du permis de conduire.
Création du permis de conduire
Avant de s’appeler le permis de conduire et d’être le papier rose que nous connaissons aujourd’hui, il y avait le certificat de capacité. Celui-ci a été mis en place en 1893 quand l’augmentation du nombre de véhicules a nécessité un début de réglementation. Cet examen était bien différent de l’examen du permis de conduire qui existe aujourd’hui puisque pour l’obtenir, il suffisait de savoir démarrer et arrêter une voiture, de savoir la diriger et d’avoir des notions de dépannage. C’est en 1922 que le permis de conduire est venu remplacer le certificat de capacité. En 1954 a eu lieu une réforme majeure du permis de conduire après laquelle il existait des catégories de véhicules et donc de permis avec le permis A, A1, le permis B, C, D, E et F. Et en 1957, l’apprentissage du code de la route devient obligatoire.
Evolution du permis de conduire et des réglementations
En 1992, le permis à points apparait ainsi que le stage pour récupérer des points après en avoir perdu. En 2002, les jeunes conducteurs voient apparaitre le permis probatoire et en 2007, celui-ci est réformé et les jeunes conducteurs acquièrent progressivement leurs points sur leur permis de conduire.
Si aujourd’hui le port de la ceinture est obligatoire et nous parait naturel, cela n’a pas toujours été le cas. En effet, en 1970, les voitures neuves n’étaient équipées de ceintures de sécurité qu’à l’avant. Ce n’est qu’en 1978 que les voiture se voient équipées de ceintures à l’arrière. L’année suivante, en 1979, la ceinture de sécurité devient obligatoire à l’avant et ce n’est qu’en 1990 que le port de la ceinture devient obligatoire à l’avant comme à l’arrière.